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La solidarité

Une valeur partagée pendant la crise sanitaire.

 

La crise de la Covid-19 qui a brusquement frappé le pays a suscité un élan de solidarité inédit. Particuliers, entreprises, organismes de prévoyance comme Lourmel, chacun, en fonction de ses moyens et de ses missions, a pu apporter sa pierre à l’édifice pour soutenir ou aider ses proches, ses voisins. Une situation qui révèle combien la solidarité est une valeur profondément ancrée dans les esprits.

Aider, donner de son temps, se montrer solidaire, autant d’habitudes qui sont largement partagées par les générations X et Y, mais aussi par ceux qui sont de peu leurs aînés. Les jeunes actifs sont à la recherche de sens tant dans leur vie professionnelle que privée et la solidarité est l’une de leurs valeurs phares. Ainsi, ils sont particulièrement présents dans le champ du bénévolat. Globalement, indique une Étude France Bénévolat / IFOP de mars 2019, la France compte 20 millions de bénévoles, qu’ils soient actifs au sein d’une association ou agissent de manière informelle.
Le taux d’engagement associatif est ainsi de 22 % chez les moins de 35 ans, de 23 % chez les 35-49 ans et de 20 % chez les 50-64 ans. Toujours selon cette étude, les activités liées au « social caritatif » occupent la première place parmi les bénévoles associatifs, témoignant ainsi de la volonté d’une grande majorité de se montrer solidaire et de s’engager pour des causes où les valeurs d’entraide et de solidarité sont fortes. Environnement, climat, justice sociale, solidarité intergénérationnelle, les thématiques qui émergent sont nombreuses. « Les jeunes actifs assument davantage l’épanouissement personnel que leur procure leur engagement bénévole.»

 

Lourmel aux côtés de ses adhérents

Prévoyance ou santé, les actions du groupe Lourmel sont elles aussi fondées sur la solidarité, une valeur qui s’appuie sur la force du collectif. Ce sens du collectif s’exprime aussi au travers des nombreuses prestations proposées par son service Action & soutien. Des valeurs de solidarité qui se sont aussi particulièrement illustrées dès le début de l’épidémie de la Covid-19 puisque Lourmel s’est engagé très rapidement pour apporter son soutien aux entreprises adhérentes et à leurs salariés. De fait, soucieux de proposer un accompagnement permettant de limiter les conséquences sociales de la crise, Lourmel a fait montre d’une mobilisation hors normes qui reflète le rôle majeur que peut jouer le collectif dans l’amortissement des effets socio-économiques d’une crise sanitaire de l’envergure de celle que nous connaissons aujourd’hui.

Ils sont aussi conscients de la capacité des associations à développer chez eux certaines compétences qui peuvent faire l’objet d’un transfert dans la vie professionnelle », note une étude du collège des directeurs du développement durable. Cette volonté de se montrer solidaire s’est particulièrement illustrée à l’occasion de la Covid-19. De fait l’envie de se rendre utile, de participer, à son échelle, à la lutte contre le virus s’est naturellement imposée dans les esprits y compris chez ceux qui n’avaient pas l’habitude de ce type d’actions. Cependant, pour nombre d’actifs, ’engagement est bien antérieur à la crise et prend des formes très diverses. Certains choisissent de s’engager aux côtés de grandes associations, telles Les Restos du Cœur ou la Croix-Rouge. D’autres s’impliquent dans le fonctionnement de structures comme les AMAP (associations pour le maintien d’une agriculture paysanne) pour favoriser la consommation locale. Enfin, certains préfèrent intervenir au sein de groupes informels qui, par exemple, s’attacheront à nettoyer et préserver les espaces naturels. Les domaines d’intervention sont donc très larges et il est important de bien les choisir pour s’y investir pleinement. Le tout, pour tous ceux qui souhaitent donner de leur temps ou de leur énergie, est donc de trouver la formule adaptée, celle qui permet de ressentir une satisfaction personnelle à donner et à faire preuve de solidarité en temps de crise comme dans la vie quotidienne.

 

Deux mois de confinement

Dès le début de la crise sanitaire l’envie de se rendre utile s’est très rapidement imposée. Cela s’est traduit, bien sûr, par le soutien aux soignants, avec de nombreuses initiatives individuelles ou collectives. Plus largement, les propositions d’aide et de partage ont fleuri sur les réseaux sociaux. Des professeurs de musique, de sport ou de danse ont donné des ZOOM SUR cours sur leur balcon pour égayer le quotidien de leur voisinage. Les gestes d’entraide se sont multipliés qu’il s’agisse de faire des courses pour un voisin âgé ou de mettre des livres ou des DVD à disposition des résidents d’un immeuble. Des actions qui ont permis à de nombreuses personnes confinées de redonner le sourire à ceux qui en avaient besoin.

 

Des entreprises très impliquées

Au plus fort de la crise sanitaire, la solidarité s’est aussi exprimée du côté des entreprises et les imprimeurs ne sont pas en reste. Nombre d’entre eux ont mis leurs capacités de découpe au service de la fabrication de visières de protection ou de masques pour les professionnels. D’autres ont choisi de donner des feuilles de PVC à des imprimeurs 3D ou ont transformé leur activité pour réaliser des éléments de signalétiques dédiés à la Covid-19 ou encore des adhésifs permettant de personnaliser les fontaines à gel. De plus, les gestes de solidarité se sont multipliés dans la profession avec de nombreux dons à ceux qui ont besoin de ces équipements. Nous souhaitions donc saluer ces initiatives innovantes, créatives, qui ont permis à bien des entreprises de réagir face la crise.

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